Boucles sur ton visage souffle de jais du plus profond de ta chevelure. Tout parfumé de toi un sourire merveilleux ouvre dans ma mémoire comme un sillage phosphorescent dont je ne peux plus me détourner. Ma lumière, mon enchantement que le regard crispé en désespoir je sens se dissoudre lentement dans les espaces sombres où seul prend forme le désir enfiévré de te revoir.
Jean-François Pique,