La pitié du bourreau consiste à frapper d'un coup sûr. (Ernst Jünger)
Parce qu'ils avaient une vie trop haute on décapita les culs-de-jatte question d'équilibre et d'esthétique, pour qu'enfin ils passent de cet air de fausset dans la tête à cette aire de têtes dans le fossé. Quand on leur mit le chef dans la guillotine on leur recommanda bien « Attention à ne pas mettre les doigts » - On ne sait jamais - surtout que le bourreau n'aime pas les petits morceaux et il pourrait se froisser ce qui serait très ennuyeux car bourreau fâché devient vite bourreau bourré et les ganses mises bas et cela gâcherait complètement le spectacle. Pour surseoir au problème on coupa autre chose. Dans une histoire qui n'a ni queue ni tête, cela s'impose.
Jean-François Pique