Marylou, je te regardais du haut de ma falaise marcher sur la plage, les pieds dans l'eau, à la main de ta mère, jeune femme si douce et si belle, et moi j'étais là, muré dans mes peurs ou mon manque de courage pour un quelconque geste et désirant tant t'accompagner, sachant tant que cet instant de bonheur que j'aurais pu passer avec toi était en train de filer là avec moi incapable de le saisir Marylou excuse-moi
Jean-François Pique, 2012